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TEST PERCIVAL : UNE VALEUR SÛRE POUR L’OUTERWEAR
Il va falloir se presser..
Si la marque Percival Clothing ne vous dit rien, c’est que vous n’avez pas suffisamment gardé l’œil sur Jamais Vulgaire durant ces deux dernières années. Après une rencontre avec un des fondateurs de la marque fin 2014, Valéry est récemment revenu sur ce bijou d’outre-manche (via un premier test percival), et notamment son nouveau modèle économique.
Alors que la marque avait réussi le pari d’ouvrir une boutique à Londres peu de temps après sa création, cette dernière a fini par changer son fusil d’épaule : elle optait pour une fabrication entre Angleterre et Portugal pour ses collections précédentes, (toujours sous le signe du workwear et de l’héritage avec une identité très british), mais aujourd’hui, la griffe s’est recentrée sur son site internet, mais pas seulement.
Les lignes ont également bougé côté production : après des succès majeurs sur des pièces de caractère (telles que le mac 100 « made in england » ou les chemises en coton japonais), la marque a choisi de prendre une direction différente : au revoir la production au Portugal, re-bonjour l’Angleterre (oui, certaines des pièces étaient déjà produites dès le départ sur les terres de la perfide Albion. On fini avec la sortie des pièces en production limitée (numérotées de 1 à 30), permettant à la marque de faire des productions assez courtes sur les produits actuels et de se renouveler très rapidement.
Pour le reste, voici comment cette évolution se traduit en terme d’image.
I La veste en corduroy.
Un design simple, une coupe moderne pour un look résolument rétro. C’est ainsi que l’on peut définir l’aspect de cette veste en corduroy (ou velours côtelé si vous le souhaitez) proposée par Percival Clothing. Elle me rappelle d’ailleurs les vestes portées dans les années 70, avec une belle utilisation de la couleur cannelle propre à la marque anglaise.
À la fois légère et élégante, on la retrouve déclinée en noir et moutarde sur le site de la marque.
Quant à son utilisation, on portera cette veste d’avantage durant la saison printemps-été, sachant qu’elle ne possède pas de doublure. Si vous recherchiez une alternative élégante à la veste en jean, elle est toute trouvée.
1 La coupe
En parlant de sa cousine la veste en jean, on reste sur ce même type de coupe : assez courte et légère. Raison qui expliquera son port printanier, ne permettant pas vraiment de vous réchauffer l’hiver (à moins de la porter en layering).
Comme on pourra le constater facilement, la taille S me correspond plutôt bien : la longueur est irréprochable au niveau des manches, et il en est de même pour les épaules.
Même chose au niveau du dos : j’ai eu le malheur de froisser la veste en m’étant assis avec au bureau, mais on pourra tout de même constater que les proportions sont très bien respectées.
J’ai tendance à penser que ce froissage est dû à la légèreté du tissu, mais en faisant bien attention, il n’y aura aucun souci. Côté coupe, la précision me semble assez remarquable, quand bien même il s’agit ici d’un sample. On pourra d’ailleurs voir le tombé du col, qui descend plutôt bas à l’avant et remonte à l’arrière.
2 La matière
Sans aucun doute le point le plus important concernant cette pièce. La marque anglaise a sélectionné un velours côtelé en coton italien afin de réaliser cette pièce à l’effet vintage. On admet d’ailleurs que le coloris « Cinnamon » renforce cette impression 70’s, en produisant de beaux reflets sur la matière dès lors que cette dernière est au soleil.
On peut apercevoir la finesse du tissage des fibres torsadées, qui montre bien la finesse de produit. Sachez d’ailleurs que moins le cordon est large, plus la toile est épaisse. Pour ce qu’il s’agit du toucher, la douceur est évidemment au rendez-vous.
Concernant la fabrication du produit, le tout est assemblé dans une usine londonienne, une des raisons expliquant la limitation des stocks.
3 L’intérieur
Alors que l’extérieur ne laisse pas entrevoir le moindre défaut, l’intérieur reste dans la même lignée. J’ai déjà précisé que cette veste n’est pas doublée, on ne trouvera donc que peu de détails qui pourraient venir risquer la qualité du produit.
J’aime beaucoup le design dont la marque a fait preuve pour ce qu’il s’agit de l’étiquette : on garde une touche d’originalité pour un détail qui reste pourtant totalement informatif. Il s’agit également de connaître le numéro de série de la veste, qui est ici la 15ème sur les 30 disponibles.
Un autre détail plaisant : tous les retours de matière à l’intérieur de la veste sont gansés, une belle preuve de durabilité pour ce type de veste.
4 Les finitions
Comme à son habitude, la marque Percival Clothing soigne les choses jusqu’au bout (il est plus facile de faire du contrôle qualité lorsque l’on peut se rendre à l’usine en vélo). Les finitions sont ici assez minimalistes, mais ne laissent rien entrevoir quant à d’éventuels défauts.
Question zip, la griffe a fait confiance à l’éternel fournisseur de fermetures YKK, et prouve ainsi cette envie de produire une pièce durable.
Détail assez intéressant qui vient confirmer ce côté héritage workwear : une poche poitrine extérieure est posée sur la face gauche de la veste, histoire de ranger selon l’envie vos lunettes de soleil ou un mouchoir. Je mettrai juste un léger bémol vis à vis de la régularité de cette poche, qui montrent quelques points de couture qui ne sont pas très droits.
La critique précédente est légèrement moins justifiée lorsque l’on constate que les poches raglans latérales sont bien renforcées.
Voila d’ailleurs un détail que je n’avais encore jamais vu sur une veste : la boutonnière des poignets se termine en forme de flèche, donnant un effet visuel assez sympathique. Cependant, vu la finesse des manches de la veste, je doute que l’on ait vraiment besoin de resserrer les poignets.
5 Conseil de style
Niveau style, j’ai souhaité rester dans un esprit assez workwear. Je le porte donc ici avec un pull en lain à col roulé (oui, la température s’est plutôt bien rafraîchie à Paris), un jean selvedge Uniqlo et une paire d’Iron Ranger de chez Red Wing.
Dans la mesure ou cette veste est assez marquée en terme de caractère (entre le coloris et la matière utilisée), elle me semble bien à sa place dans une tenue assez sobre, de manière à bien équilibrer les tons.
Je réitère d’ailleurs le fait que cette veste se portera d’avantage lorsque les températures auront légèrement grimpé (il faisait une douzaine de degrés le jour du shoot, et même si on ne le voit pas sur ces visuels, je portais un manteau long par dessus la veste).
D’ailleurs en terme de précision, si vous souhaitez porter cette pièce en layering, je vous déconseille de le faire avec un manteau trop près du corps : c’est bien connu, le velours s’accroche assez facilement avec les autres matériaux, pouvant empêcher de retirer ou enfiler la pièce supérieure facilement.
CONCLUSION
J’ai été agréablement surpris par cette veste en corduroy. Les visuels du site m’avaient déjà conquis, mais j’ai pu trouver en cette pièce une alternative très intéressante pour la saison. Au delà de la qualité des matériaux, des finitions et de la fabrication, on notera qu’en terme de rendu, elle possède cette originalité qui fait toute la différence.
Elle est disponible ici au prix de 169 livres (au lieu de 189), ce qui en fait un excellent rapport qualité / prix.
Casual: 9/10 (le parti pris très « héritage » en fait une pièce parfaitement casual)
Formel: 1/10 (la pièce est trop courte pour être portée avec un costume de toute évidence)
Prise de risque: 2/10 (aucun problème pour porter cette veste)
Rapport qualité/prix: 8/10 (une veste très intéressante, à glisser sur tous les dos)
II Le Trench Coat Sherlock.
Autre classique du genre, la marque Percival Clothing a prouvé ces dernières années que sa manière de revisiter le fameux Trench Coat en a séduit plus d’un. Utilisé depuis des décennies pour parer aux intempéries légères, on retrouve cette fois ci une pièce plus formelle qui accompagnera aussi bien un costume qu’une tenue plus casual. La preuve en images.
1 La coupe
Le choix s’est orienté vers une certaine légèreté et une coupe un poil près du corps, sans pour autant être trop fitté. En effet, le but étant à la fois de porter cette pièce avec un pull ou un sweatshirt, tout comme une chemise et une veste de costume pour une tenue plus formelle.
Ainsi, nous pouvons constater que cette coupe correspond très bien à ma morphologie. La longueur est une fois de plus irréprochable, même si je trouve que ce trench est plus court que la moyenne.
On peut constater que le dos est également parfait, aidé par une fente qui commence au creux des reins. Globalement les proportions sont totalement fidèles à une taille classique.
Une fois n’est pas coutume, l’épaule montre un tombé sans reproche. La précision globale quant à la coupe est une fois de plus remarquable : je n’ai pas vraiment l’habitude de porter des vestes qui sont à mi-chemin entre coupe courte et longue, mais on trouve ici un compromis qui se portera très facilement avec toutes les morphologies. J’apprécie d’autant plus le fit des manches, qui sont assez fines.
2 La matière
À l’instar de Barbour et consorts, la marque a montré par le passé qu’elle avait un certain parti pris pour le coton ciré. Une fois n’est pas coutume, la matière principale de cette pièce est issue de chez British Millerain : il s’agit d’un coton ciré relativement sec, qui justifiera d’autant plus l’utilisation de cette pièce par temps de pluie.
J’ai d’ailleurs tenté d’y renverser quelques gouttes d’eau, et le tissu ne s’imprègne à aucun moment. Un très bon point pour le côté « Waterproof » défendu par la marque. Contrairement à la veste précédente, on est donc sur une veste 100% Made in England (sourcing + fabrication).
3 L’intérieur
Une fois de plus, ce Trench Coat est (comme la plupart du temps) non doublé. Globalement, on ne retrouvera aucun défaut à l’intérieur de cette pièce, à l’instar de la veste précédente.
On retrouve une fois de plus les coutures gansées à l’intérieur de cette veste, et les renforts de poches. D’ailleurs nous retrouvons cette fois ci une poche intérieur relativement massive !Et si on cherche bien sur le site, on peut tomber sur la mention (traduite) « inclue une poche intérieure pour Macbook Pro 13 »… Non, ce n’est pas une blague, j’ai même tenté d’y ranger le mien, et les dimensions sont… parfaites. Il fallait l’oser, Percival l’a fait.
Oui, la masse grise qui dépasse légèrement de la poche est un Macbook Pro, et il rentre parfaitement.
4 Les finitions
Minimalistes mais efficaces. J’aurais tendance à dire que sur ce type de pièce, il est assez difficile de faire des erreurs, d’autant plus lorsque l’on s’assure quotidiennement d’un contrôle qualité des plus sérieux.
Les poches raglans latérales sont parfaitement bien cousues et très faciles d’accès. Cela est sans doute dû à une légère élasticité de la bande supérieure.
Une fois de plus, on retrouve les boutons bruns avec les noms et logo de la marque intégrés au lazer. J’ai juste une légère remarque à faire sur la couture des boutons qui me semble un peu juste. Cependant, il s’agit une fois de plus d’un sample que la marque m’a envoyé.
On peut ici observer les coutures de la veste, qui sont parfois légèrement approximatives, mais semblent cependant très solides.
On termine avec le col, qui me semble avoir des proportions très bonnes.
Dans la globalité, tout n’est pas 100% parfait, mais j’ai tendance à croire qu’il s’agit de quelques petites inexactitudes dues au fait qu’il s’agisse d’un sample. Maintenant, je trouve que globalement les finitions sont très bonnes, et indiquent que cette pièce saura durer dans le temps sans aucun problème.
5 Conseil de style
J’ai souhaité arborer un style assez casual, qui me semble parfaitement plausible pour le printemps. Je porte donc ce trench Sherlock avec un sweatshirt bleu marine, un chino beige et une paire de sneakers blanches. Le minimalisme est de rigueur, et la couleur du chino vient rappeler l’intérieur du trench.
J’aurais pu également choisir de vous montrer un style plus formel, mais je trouve que cette pièce est suffisamment polyvalente pour que l’on puisse imaginer un port dans diverses situations.
J’apprécie la légèreté de ce trench, qui se portera davantage à la mi-saison (un peu léger pour l’hiver). Il est évidemment moins marqué que la veste que vous avez pu voir plus haut, mais son côté classique est joliment rehaussé par le choix du matériaux et la précision apportée à la coupe.
CONCLUSION
Notons ici que ce trench est un des grands classiques de la marque, qui tend à perdurer au fil des saisons. Quand bien même ce modèle est une fois de plus limité à 30 exemplaires, on ne doute pas une seconde sur le fait qu’il soit retravaillé à l’avenir.
Globalement, j’ai été très satisfait de la coupe et des matériaux utilisés pour ce vêtement qui, malgré un grand classicisme, trouve ici parfaitement sa place dans une collection entre modernité et héritage. Un gros pouce en l’air pour le sourcing auprès de British Millerain.
Ce trench coat Sherlock est disponible ici au prix de 175 livres (au lieu de 209 livres), un très bon rapport qualité/prix pour ce type de produit (qu’on retrouve très souvent autour des 300/400€ chez des marques plus « grossistes » et moins qualitatives.
Casual: 8/10 (une pièce très facile à porter avec un jean ou un chino)
Formel: 7/10 (on peut facilement la retrouver avec au dessus d’une veste de costume)
Prise de risque: 0/10 (il s’agit d’un type de veste très facile à porter, rien à redire)
Rapport qualité/prix: 8/10 (avec un vrai contrôle qualité, on peut difficilement faire mieux à ce prix)
III La Fiskur Mac.
À l’instar de la veste Vincent que nous avons vu plus haut, ce modèle dénommé « Fiskur » est une des nouveautés du moment signée Percival Clothing. Globalement, elle garde à peu de choses près les mêmes caractéristique que la veste Sherlock, mais dans une version qui intègre cette fois une capuche. Je m’étendrai donc un peu moins sur le sujet, tout en rappelant ces dites caractéristiques.
Cependant, on retrouve une fois de plus un côté héritage propre à la marque : il s’agit d’un rappel des vestes portées par les pêcheurs de haute-mer (il fut un temps).. Dans une version re-visitée version Percival bien entendu.
1 La coupe
La coupe est légèrement différente que celle du Trench Coat : On retrouve ici un fit très similaire, mais un peu moins de longueur. Les poches extérieures latérales sont disposées de la même manière que sur le modèle précédent. En effet, ce qui différenciera l’utilisation de cette veste à la précédente, c’est le style : on est revenu sur un modèle plus casual.
De toute évidence, la boucle est bouclée : 3ème veste essayée par mes soins, et une 3ème réussite quant à la précision du fit : pour ce modèle en S, je trouve que la longueur est parfaite, les épaules irréprochables et la coupe ni trop près du corps, ni trop droite. Juste ce qu’il faut pour porter un pull épais en dessous pour l’hiver, sachant que la porter avec un t-shirt fonctionnera tout autant.
2 La matière
Sans surprise, pour justifier le fait que cette veste soit faite pour résister à l’eau (étymologiquement, « Fiskur » vient de « poisson » : le rapport avec le pêcheur / la mer est tout trouvé) la marque anglaise a utilisé le même matériaux que pour le trench : le coton ciré à sec de chez British Millerain.
Il s’agit là encore d’un vrai gage de confiance envers ce modèle, une fois de plus sourcé et fabriqué en Angleterre. Et puis dans un sens, nous pouvons largement croire aux capacités de nos amis outre-manche pour se protéger de la pluie..
3 L’intérieur
Nous sommes en tout point dans la similitude avec le Trench : on retrouve un intérieur beige, avec une majorité des coutures renforcées. Mis à part l’emplacement d’une des étiquettes (la « Made in London »), rien n’a bougé.
Le constat sera le même que pour la pièce précédente : tout est assez propre, il y a encore quelques petites inexactitudes vis à vis de certaines coutures, mais globalement le résultat est satisfaisant. La marque a réussi son pari de créer un imperméable à capuche qui soit léger au possible, et permette une bonne respirabilité (c’est autre choses que les k-way à l’ancienne, utilisés aujourd’hui pour suer en courant)…
PS : on retrouve la fameuse poche pour Macbook Pro 13″ !
4 Les finitions
On prend les mêmes, et on recommence ! Sans grande surprise, les finitions sont encore une fois très bonnes sur ce modèle : effectivement, quelques coutures semblent parfois hésitantes, mais elles sont essentiellement à l’intérieur de la veste, donc invisible à l’extérieur. Pour le reste, le soin apporté aux finitions est appréciable.
On retrouve ici les fameux boutons avec le nom et le logo de la marque, mais cette fois dans une gravure dorée.
Le cordon de serrage pour la capuche utilisé est assez solide, avec une finition en métal doré pour les embouts : un détail appréciable vis à vis de la durabilité du produit.
On aperçoit ici les coutures intérieures d’une des poches latérales, qui, malgré les renforts, sont légèrement approximatives.
La capuche est son intérieur reprennent les mêmes caractéristiques que pour le reste de la veste : les coutures sont bien renforcées, et le boutonnage de la veste remonte suffisamment haut pour protéger le bas du visage et donner de la tenue à la capuche, une fois que vous l’avez glissé sur votre tête.
5 Conseil de style
J’ai une fois de plus choisi un style aux origines workwear afin d’arborer cette veste Fiskur. La raison est simple : elle se portera davantage dans un style casual que le trench que nous avons vu plus haut, et je trouve qu’avec un pullover bleu marine, un pantalon cargo kaki et une paire de Red Wing Iron Ranger, elle est parfaitement dans son élément.
Encore une fois, ce modèle est une pièce très polyvalente : elle se porte mieux avec un style casual à mon sens, mais rien ne vous empêche de la porter dans une tenue plus élégante. Cependant, j’ai tendance à penser que vue la finesse des manches, il sera plus compliqué de l’utiliser au dessus d’une veste de costume (par exemple). Cependant, aucun problème pour y glisser un pullover épais ou une chemise.
Question climat, je pense qu’on reste sur les mêmes bases que pour le modèle précédent : on portera la Fiskur davantage à la mi-saison, dans la mesure ou sa légèreté lui permet d’évoluer aisément sur des températures plus élevées, mais le layering sera plus compliqué pour le froid de l’hiver.
Cette veste Fiskur est disponible ici au prix de 185 livres (au lieu de 219 livres), encore une fois un très bon rapport qualité/prix dans cette gamme et pour cette qualité. Ce modèle existe également en jaune.
Casual: 9/10 (la fiskur sera dans un look casual telle un poisson dans l’eau (…))
Formel: 3/10 (possible, mais cela ne sera pas ma recommandation première)
Prise de risque: 0/10 (une fois de plus, c’est un modèle très facile à porter)
Rapport qualité/prix: 8/10 (Une très bonne note pour une veste très réussie)
CONCLUSION DU TEST PERCIVAL
Le constat est sans appel : Percival Clothing a parfaitement bien réussi son pari de produire un modèle qui sait être simple, durable et dont le rapport qualité/prix est irréprochable. J’apprécie une fois de plus le sourcing des matières, qui donne une réelle valeur ajoutée à ce modèle; et malgré quelques légères imperfections (une fois de plus, il s’agissait d’un sample), le style, la coupe et la qualité globale n’ont pas à rougir face à des modèles parfois pricés de manière plus agressive.
Merci pour ce test, collection très sympa !
Quelles sont les références du chino et des sneakers blanches sur le test du trench bleu svp ?
Hello! Super article et vraiment content de découvrir cette marque. J’ai hate d’y faire quelques achats.
J’aurai notamment bien voulu acheter la veste couleur cannelle (au début de l’article) mais elle n’est plus disponible. Sais-tu ou je pourrais trouver des vestes similaires (forme et couleur pour la matière sa pourrait aussi être du daim par exemple)?
Merci et hate de lire les prochains articles!
a+
Salut, super marque bien trouvé, la fiskur me tente bien. Aussi je me demandais quelle modèle d’Iron Ranger tu avais récupéré et si tu avais une bonne adresse à Paris pour en essayer, ou si tu les avais prises sur internet.
Merci !