Pini Parma pour JamaisVulgaire
J’ai pu essayer depuis la dernière fois le blazer bleu marine entoilé et le costume gris en flanelle semi-entoilé: vous pouvez consulter mon feedback ci-dessous, dans la partie collection.
Le blazer bleu marine est disponible à 590 euros et le costume gris est disponible à 650 euros
La collection Printemps/Ete de la marque sort quant à elle en Mars sur le site (et dans un nouveau lieu à Paris): pour faire parti des premiers informés, n’hésitez pas à vous inscrire sur la newsletter de la marque. (qui prodigue aussi de bien bons conseils de style)
La boutique se situe au 19 rue Grégoire de Tours (dans le 6ème, à Paris): elle est ouverte du mardi au samedi de 10H à 20H
Depuis l’écriture de cet article, Pini Parma a ouvert un magasin permanent 63 Rue de la Boétie dans le 8ème arrondissement.
La vraie mission du blog ?
C’est très certainement vous dénicher chaque année les marques les plus prometteuses, avec le meilleur rapport qualité/prix, et c’est encore mieux si elles ont une esthétique originale. La rentrée apporte du coup son lot de belles découvertes et, parmi elles, Pini Parma est sûrement celle qui m’a le plus tapée dans l’oeil.
Je suis assez fier de pouvoir être le premier site à vous en parler: c’est une marque que vous allez beaucoup retrouver par la suite et qui va faire énormément parler d’elle dans les prochaines semaines.
I PINI PARMA: LE SAVOIR-FAIRE 100% ITALIEN DANS LE PRET A PORTER
1 Histoire
Pini Parma est crée par Thomas Pini il y a seulement quelques mois, en février dernier: la marque n’est d’ailleurs en activité que depuis quelques semaines sur son site e-commerce.
Thomas, son fondateur, est à la fois un perfectionniste et un sacré amoureux des traditions italiennes: ce mélange assez rare donne un résultat unique. Il tient toute cette expérience d’années de travail pour des marques italiennes à la fois en Italie, mais aussi en Suisse, Angleterre, Allemagne et aussi à Paris. Il choisit du coup de faire une synthèse de toute cette expérience et ces contacts accumulés au fur et à mesure des années pour créer Pini Parma, tout en rendant hommage à l’artisanat italien.
La marque se distingue par trois caractéristiques claires: un style très italien avec des revers généreux, des détails sartoriaux et des matières de caractère (que ça soit en terme de texture, ou de motifs).
Le nom est du coup assez transparent sur la marque: Pini est le nom de famille du fondateur, et Parma un hommage à ses origines.
2 Savoir-faire et vision de la marque
Toute la collection est fait en Italie entre Parme, Naples, la Toscane et la Lombardie
Entre formel et sprezzatura
La marque possède une identité italienne très forte, qui a aussi une vocation pratique affirmée: les épaules naturelles des vestes ainsi que les poches plaquées permettent à la fois d’affirmer ce côté sprezzatura et nonchalant mais aussi de pouvoir porter les vestes de costume de manière dépareillée. Et il en va de même pour les pantalons.
Le bon compromis est aussi atteint à travers un travail recherché sur les matières qui ont toujours ce petit twist qui permettent de les porter dans un contexte casual sans que les pièces fassent trop lisses.
C’est aussi ce qu’on retrouve sur l’outerwear et sur les épaules vides du manteau, qui donne un rendu qu’on a rarement l’occasion de voir dans le prêt à porter.
Le parti pris sur les revers
Le patronage a été fait par Thomas et il a put se concentrer sur un point qui pose souvent problème dans le prêt à porter: la largeur des revers.
Si leur largeur classique dans le prêt à porter est entre 7.5 et 8.5, les revers classiques chez Pini Parma sont à 9.5 et ceux plus affirmés des collections capsules sont carrément à 12.5
J’ai d’ailleurs été surpris qu’une telle largeur de revers ne les rendent pas trop envahissants par rapport à la carrure: j’ai du coup eu droit à un petit cours de patronage sur cette partie du costume.
Tout se joue en fait au niveau du cran: il est ici un peu plus bas et un un peu plus en biais, ce qui permet aux revers d’avoir une bonne largeur sans prendre trop de place horizontalement. (l’impression d’horizontalité est allégée par cet effet de biais). Toute la question du coup, en terme d’anatomie des revers, repose sur le point de départ du point de couture.
Ici Pini Parma joue sur un intermédiaire entre un style Beams japonais très en biais, et un style napolitain plus horizontal, mais aussi forcément plus difficile à porter: ici le cran est légèrement en biais, et ouvert à 90 degrés.
3 La collection
Le blazer bleu entoilé Loro Piana
J’ai pu porter depuis mes débuts de nombreux blazers bleus avec cette texture nattée, assez facile et qu’on retrouve chez de nombreux drapiers. Mais il faut dire ici que la qualité fait la différence: il s’agit ici d’un tissu Loro Piana super 130’s Four Seasons. Il est beaucoup plus lumineux et soyeux que ce que j’ai l’habitude de voir ailleurs pour ce genre de texture, avec une texture beaucoup plus subtile.
En comparaison, les nattés que j’ai pu voir chez des drapiers plus accessibles semblent tout de suite beaucoup plus secs, avec une texture plus grossière.
Evidemment, l’entoilé complet fait toute la différence avec un tombé agréable mais un poids qu’on sent bien sur les épaules.
Les finitions et proportions sont cohérentes pour ce type de style: des épaules napolitaines, avec poches plates et revers plus larges que chez la concurrence. La veste est aussi un poil plus longue qu’ailleurs mais convient toujours bien à mon 1m74 (en arrivant aux poignets).
Conseils de style
J’ai choisi ici de la porter dans une tenue dépareillée classique avec un pantalon en flanelle gris moyen (sûrement l’association la plus logique). J’ai opté pour une cravate bleu avec une texture assez similaire mais plus lumineuse et une pochette bleu clair.
On a du coup un haut qui s’appuie surtout sur le bleu mais qui arrive pile poil à garder assez de variété en changeant de ton.
Il est disponible ici à 472 euros
Le costume gris en flanelle de laine semi-entoilé
Si ce genre de gris moyen est une couleur de costume business, il y a ici un parti pris très italien avec des épaules napolitaines au rendu bien arrondi et des poches latérales plates ainsi qu’une longueur moyenne.
La veste peut donc très facilement se porter dépareillée (par exemple avec un pantalon en flanelle bleu marine).
Le pantalon a lui aussi une coupe polyvalente: semi-slim avec une ouverture en bas de 18 cm, les bonnes caractéristiques pour le porter dépareillé.
Au niveau de la matière, il s’agit ici d’une flanelle très classique avec un poids de 310gr/mt: elle tient bien chaud tout en restant plutôt fluide. J’ai été assez surpris de voir à quel point elle tenait bien la lumière.
Conseils de style
Pour avoir une tenue un peu intéressante en terme de texture, j’ai choisi une chemise bleu claire à chevrons. Etant donné qu’il n’y a pas un contraste très fort entre le bleu clair et le gris moyen, il a fallut insérer du contraste ailleurs: ici à travers la cravate et la pochette.
La cravate bleu marine se démarque, mais sa texture laineuse reste proche de la flanelle du costume tandis que la pochette rajoute un peu de clarté, mais avec un liseré qui reste dans les tons de la tenue.
Il est disponible ici à 520 euros
La capsule Soragna
C’est dans la ville de Soragna que le fameux Alberto Caruso a fait ses débuts avec son usine Maco: la capsule Soragna est ainsi un hommage à ses débuts, avec un style marqué et des finitions caractéristique du bespoke.
La veste Soragna
Le costume Soragna
Outre des revers impressionnants de 12.5 cm, il se caractérise par un pliage de revers d’un faux trois boutons (aussi appelé 3-roll-2): ce pliage accentue le côté roulé du revers ( à l’opposé du côté écrasé et plié qu’on peut trouver sur les costumes thermocollés bas de gamme) et aussi la fluidité de la veste.
A travers ce costume, Thomas a voulu donner au prêt à porter de vrais détails qu’on ne retrouve normalement qu’en bespoke. Ca se voit aussi sur le pantalon avec la ceinture de fixation à onglet étendus, les pattes de serrage et la petite pince.
Les manteaux
Outre l’absence de structure, ils se démarquent aussi par de subtils détails comme la poche boite aux lettres: plus discrète qu’une poche à rabats mais tout de même bien marquée.
Thomas a vraiment voulu se concentrer sur la fluidité du produit final, quitte à sacrifier des détails un peu inutiles comme le melton au col.
Les revers sont assez larges pour ce type de pièce avec du 8.5 cm.
On est sinon sur un bon compromis en terme de laine: 400g, assez lourd pour tenir chaud, assez léger pour rester un minimum fluide.
Les vestes à plastron
J’ai aussi eu un coup de coeur sur les vestes à plastron (mais ce n’est pas ce que j’ai testé car il n’y en avait plus dans ma taille): leur gros souci, c’est qu’elles sont généralement trop grandes et trop rigides. Du coup, elles tombent bien quand on les porte comme une pièce strictement outerwear (c’est à dire en vraie veste d’extérieur) mais pas quand on veut les porter comme un simple blazer.
Ici, Thomas a encore une fois donné un côté napolitain à cette pièce à travers l’épaule, pour en faire un vrai blazer facile à porter une fois le plastron retiré.
Le croisé pied de poule
C’est une pièce assez surprenante car en photo on ne devine pas du tout qu’il s’agit d’une flanelle car la texture se voit assez peu. En fait, elle est relativement légère (300g) et on voit beaucoup plus le motif pied de poule (qui a en fait plusieurs nuances de gris légèrement bleutés.
Outre cette matière assez intéressante, il se distingue aussi par des revers de 12.5 cm imposants, ainsi qu’un boutonnage 4 boutons plus moderne (qu’on retrouve encore une fois rarement dans le prêt à porter).
II TEST DE LA VESTE VERT PETROLE ET DU PANTALON BEIGE FLANELLE
1 La veste vert pétrole grand carreaux
Il fallait forcément que je choisisse une pièce avec un minimum de caractère et qui retranscrive bien cet état d’esprit italien, mais je voulais aussi rester fidèle à mon propre style, marqué d’influences britanniques comme le tartan blackwatch. C’est pourquoi Thomas m’a recommandé cette veste, dont les carreaux, de par leur couleur originale mais neutre mais aussi de leurs dimensions qui rappellent assez facilement le tartan.
Du coup, ça me permettait d’avoir une pièce très italienne de par sa structure et sa fluidité mais aussi avec un poil d’inspiration britannique grâce à son motif et ses couleurs sobres.
La structure
Elle reste du coup très italienne: non doublée et comme vous vous en doutez sans padding aux épaules, avec les fronces qui caractérisent enfin les épaules napolitaines.
Comme toute veste non doublée qui se respecte, les finitions sont impeccablement propres et sont toutes gansées. (ce qui coûte du coup plus cher à produire qu’une veste doublée, dont on ne verra pas forcément les finitions qui peuvent du coup parfois être négligées.
Attention: même si la veste est non doublée et restructurée, elle reste tout de même semi-entoilée au niveau du plastron. L’entoilage, légèrement perceptible se termine au niveau des épaules.
Le tissu
Ce tissu au premier abord assez texturé et lourd est en fait un mélange de laine et soie fluide et plutôt léger (230gr)
Les motifs: ils reprennent les couleurs de la marques c’est à dire gris et beige à travers les lignes des carreaux tout en étant mélangés à une couleur plus originale mais sobre: le vert émeraude. On arrive du coup à un résultat plutôt équilibré et je suis sincèrement convaincu que ce motif est bien plus facile à porter qu’un vert émeraude uni seul.
La qualité de la confection se retrouve par ailleurs en examinant attentivement les motifs: on voit bien que tout est raccord, en particulier au niveau de la jonction épaule/plastron, au niveau des poches plaquées et au niveau des revers.
Les finitions
Outre les fameuses poches plaquées, on retrouve une poche poitrine barchetta ainsi que d’autres signes de qualité comme des boutons en cornes avec une disposition kissing buttons.
Afin de privilégier la fluidité, Thomas a encore une fois choisit de ne pas mettre de melton derrière le col, qui a tendance à rigidifier l’ensemble.
A l’intérieur de la veste, on remarque enfin les fameuses coutures en demi-lune pour renforcer les poches internes (une poche téléphone, une poche stylo et une poche portefeuille) , ainsi qu’une doublure partielle ne ivoire qui contraste bien avec le vert émeraude du tissu.
Enfin, on reste sur des revers peut-être un peu plus simples à assumer par rapport au reste de la collection avec un modeste 9,5cm.
Conseils de style
Même si on a un subtil équilibre qui fait que le motif se porte assez facilement, il faut tout de même veiller à avoir une tenue relativement minimaliste, en particulier au niveau de la chemise. Je vous conseille du coup une chemise unie, sans fioritures, avec un col français ou italien et porté deux boutons ouverts.
Plusieurs écoles sont possibles pour ce qui est du type de tissage: j’aurais tendance à dire qu’il faudrait quelque chose d’un minimum texturé avec cette flannelle comme de l’oxford ou du twill. Cela étant comme la flanelle est assez légère, on peut se contenter de popeline de coton sans qu’il y ait un décalage trop grand et que la chemise ne fasse trop lisse.
En ce qui concerne la couleur, à vous de voir en fonction de votre contraste peau cheveux mais je vous recommanderai d’en rester à des tons simples comme du blanc ou du bleu clair.
En bas, je vous recommande de porter soit un pantalon clair (comme c’est le cas ici) soit un pantalon très foncé qui se démarque bien de la veste, comme parexemple un pantalon en flanelle bleu marine.
AVIS SUR LA VESTE A CARREAUX VERT EMERAUDE
Note formelle: 5/10 (il s’agit plus d’une veste casual, même si le motif reste facile à porter)
Note casual: 10/10 (parfait pour un style sprezzatura )
Prise de risques: 3/10 (du fait de la couleur originale, au final calmée par l’équilibre des couleurs et par des proportions polyvalentes)
Rapport qualité/prix: 10/10 (450 euros reste un budget, mais pour une veste déstructurée bien finie et confectionnée dans un tissu avec une si belle main, c’est extrêmement honnête).
Voici le lien pour la veste à carreaux vert émeraude en flanelle.
2 Le pantalon beige flanelle
Le tissu
On est d’abord surpris par sa très belle main (du fait d’un poids assez respectable de 310 gr) ainsi que par son touché et son confort. Il possède une propriété Natural Stretch qui y contribue énormément et qui apporte plus d’élasticité.
Les finitions
On retrouve les finitions qualitatives classiques pour cette gamme de prix: un V d’aisance à l’arrière, des points d’arrêt aux poches.
On trouve aussi une très discrète poche ticket.
Par contre, pas d’ardillon pour bloquer la ceinture, ce qui n’est pas très étonnant étant donné que le style italien se caractérise plus par des costumes portés sans ceintures, ou avec des pattes de serrage.
On retrouve enfin des surpiqûres AMF
La coupe
L’ouverture à la cheville est de 18 cm, donc assez polyvalente. La coupe est semi-slim. Que du très classique de ce côté là donc.
Ce genre de pantalon clair en flanelle se porte plus facilement qu’il n’y paraît: par exemple avec un blazer texturé foncé, ou avec un blouson un peu plus casual. L’avantage de cette flanelle assez légère est qu’elle peut se porter tout aussi bien en été qu’en hiver, avec aussi bien des chemises texturées que des chemises popeline de coton comme c’est le cas ici.
Conseils de style
Comme vous vous en doutez, les deux pièces testées se portent ensembles très facilement: j’ai opté avec pour une chemise Oxence micro-motifs en popeline de coton. Assez simple en terme de texture pour ne pas trop charger la tenue, mais juste avec ce qu’il faut de motif pour ne pas avoir l’air trop lisse à côté de la veste et du pantalon en flanelle.
On est sur une bonne longueur de veste: pas trop courte pour éviter les vestes à la The Kooples, mais pas non plus aussi longue qu’une veste de costume. Elle s’arrête donc pile au niveau du poignet.
J’étais d’ailleurs habitué avec ce type de pantalon en flanelle habillé à plis frontal à une taille un poil trop haute et ce n’est en fait pas le cas du tout ici.
La tenue est plutôt italienne et casual: elle se porte donc avec la chemise plutôt déboutonnée (deux boutons). Attention à trouver une chemise dont le col tienne un minimum correctement pour ça. Il s’agit ici d’une chemise Oxence à micro-motifs, avec un col semi-cutaway qui convient donc bien à ce registre très italien.
On voit que le contraste de couleurs fonctionne bien entre le beige et le vert émeraude et que le rappel de beige permet une tenue simple mais travaillée, d’autant plus que les variations de beiges des rayures de la veste rappellent un peu celles du pantalon.
J’ai opté comme vous pouvez le voir pour des revers à 3.5 cm histoire de rester dans un style assez italien avec un tombé plutôt court, mais sans pour autant aller dans du revers oversize.
AVIS SUR LE PANTALON EN FLANELLE BEIGE
Note formelle: 8/10 (avec sa couleur assez sobre, on l’imagine facilement porté avec un blazer bleu marine et une cravate pour une tenue dépareillée mais habillée)
Note casual: 8/10 (forcément moins habillé )
Prise de risques: 0/10 (aucun risque si vous avez besoin d’un pantalon un peu habillé dans votre garde-robe)
Rapport qualité/prix: 10/10 (là aussi, excellent rapport qualité/prix avec une confection plus soignée et un tissu à la main bien meilleure que de nombreux pantalons testés du même prix).
Voici le lien pour le pantalon en flanelle.
CONCLUSION
On a tous été à un moment ou à un autre inspiré par toutes ces photos du Pitti Uomo remplies de sprezzatura: Pini Parma offre l’occasion d’entrer dans cet univers, sans faire de compromis sur la qualité, et en profitant de tous ses détails caractéristiques que les puristes apprécieront.
Mais ce que j’apprécie aussi beaucoup, c’est que la marque n’a pas sacrifié l’aspect pratique et la polyvalence juste pour un style plus fort et que le maximum a été fait pour que chaque pièce soit la plus facile à porter possible, et la plus adaptable en fonction des différents contextes.
Je vous invite une nouvelle fois chaudement à faire un tour sur le site de la marque.
(Merci à Léa Chamboncel pour les photos)
Bonjour Valéry,
Merci pour cet article et la découverte de la marque !
Concernant le style c’est très agréable de voir d’aussi larges cols aussi bien réussis (du moins sur les photos).
Je me suis baladé sur le site, malgré un choix un peu faible au niveau des costumes, je les trouves plutôt sympathique.
Forcément, au vu des prix et du style très italien, je ne peux m’empêcher de penser à Boggi. Quid du comparatif au niveau de la qualité ? Est-ce équivalent ou bien l’un des deux est vraiment au dessus ?
Merci d’avance.
Maxime.
Je pense qu’on est sur un meilleur rapport qualité/prix que Boggi (et sur un travail un peu plus intéressant en terme de style)
Intéressant !
J’ai hâte de voir le rendu. Une idée de la date d’ouverture de la boutique ?
Elle a ouvert depuis le 25 Septembre près de St Germain des Prés au 19 rue Grégoire de Tours.
Coucou,
C’est très joli effectivement ce qu’ils proposent. Un beau style italien comme je les aime 🙂 Moi qui cherchais un beau manteau avec un beau revers et une belle matière, je suis très tenté par ce manteau beige à poches « boîte aux lettres ». Les vestes ont l’air très sympas aussi.
Merci pour l’article !
Gouhouf
Salut !
Passez donc en boutique vous ne serez pas déçu !
Vous trouverez des vestes avec des revers à 12,5 cm si le coeur vous en dit !
Gustave
Hello !
Merci JamaisVulgaire pour cet article très intéressant et cette belle découverte !
J’ai eu le plaisir de visiter la boutique de Thomas Pini près du Boulevard Saint Germain à Paris 🙂
Les produits sont élégants et modernes. On sent la passion pour le style et les traditions sartoriales italiennes.
Je pense que le rapport qualité prix est meilleur que chez BOGGI et j’ai eu un gros coup de cœur pour la capsule collection Soragna ! Bref, je vous invite à faire un tour dans la boutique, vous serez bien reçus et conseillés.
Florian
Merci pour votre retour Florian !
Pour ce qui est de Boggi, disons que l’offre est plus large et aussi plus abordable 🙂